Economies

Dix ans après l'incendie qui a ravagé le marché central de Bujumbura. Quel manque à gagner ?

Dix ans, jour pour jour, après l’incendie du marché central de Bujumbura, PARCEM fait son avis.

Pour PARCEM, la non construction du nouveau marché central de Bujumbura cause un manque à gagner énorme pour le Burundi et les Burundais en général à savoir :

  • Le marché central de Bujumbura constituait la vitrine de l’économie Burundaise et celle de la visibilité de notre pays.
  • Il devrait être le facilitateur des échanges, augmenter leur volume, stimuler l’entrepreneuriat et la création de l’emploi. En effet il devrait être un cadre d’échange qui stimule les activités économiques (l’entrepreneuriat des jeunes et la création de l’emploi).
  • Le Burundi rate les taxes municipales qui ne sont pas perçus et les impôts qui devraient rentrer dans le trésor public.
  • Suite à la position géographique de notre pays, ce marché devrait avoir été le centre d’approvisionnement de la sous-région (l’est du Congo, le Rwanda, l’est de la Tanzanie). Outre cela, la construction d’un nouveau marché moderne va promouvoir la modernisation de la ville de Bujumbura.

Pour ce, PARCEM plaide pour la reconstruction d’un nouveau marché moderne.